Le Concours de plaidoirie en droit international Philip C. Jessup, créé en 1960, est l’un des plus anciens et grands concours de droit international au monde, réunissant chaque année des participants issus de près de 800 facultés de droit à travers 100 pays et juridictions. Ce concours simule un différend judiciaire entre deux États, dans lequel les équipes présentent des mémoires écrits ainsi que des plaidoiries orales sur des questions de droit international public.
Pour sa 66è édition en 2025, la compétition abordait des thématiques telles que l’immunité des agents de l’État, les conséquences juridiques du recul des côtes sur les zones maritimes, la représentation légitime d’un État, entre autres sujets. L’ULB était représentée par Diana Revilak Pichardo, Ewaoluwa Oyewo, Gabriela Gómez Mantilla et Nikolaus Geyer (Master de spécialisation en droit international), sous la direction de leur coach Razy Aman Eddine (Assistant chargé d’exercices associé à l’ULB).
Au terme de joutes oratoires disputées face aux meilleures équipes de KU Leuven, UCLouvain, UGent, UAntwerp et VUB, l’équipe de
l’ULB s’est imposée lors des tours nationaux belges, qui se sont tenus les 8 et 9 mars 2025. Avec le soutien de Wallonie-Bruxelles International, elle se prépare désormais à affronter les meilleures équipes internationales lors des phases finales à Washington D.C.
Toutes nos à l’équipe pour cette remarquable performance! Continuer la lecture

Le Centre de droit international a le plaisir de vous inviter au prochain 
Après avoir traité des guerres de Gaza, des positions des États devant la Cour internationale de Justice dans l’avis sur l’occupation des territoires occupés et de l’intervention israélienne en Syrie, Ghita Bensouda, doctorante au Centre de droit international, expose dans
Au mois de décembre dernier, l’armée israélienne a lancé des opérations militaires en Syrie, à la suite du renversement du régime de Bashar El-Assad. Ghita Bensouda, doctorante au Centre de droit international, expose dans
Le 3 décembre dernier, le Conseil d’administration de la Société belge de droit international a adopté la déclaration suivante sur le risque de génocide à Gaza. On y lit notamment que les États membres des Nations Unies doivent accorder une importance particulière aux rapports des organes compétents des Nations Unies pour déterminer leur action dans les relations internationales au titre de l’obligation de prévenir le génocide » et que tout État a l’obligation de prendre toute mesure dont il est raisonnablement capable pour prévenir un éventuel génocide contre le peuple palestinien à Gaza, sans pouvoir se disculper en alléguant de l’inaction d’autres États, ni du fait que sa propre action serait insuffisante, à elle seule, pour empêcher ou mettre fin à la commission d’un génocide ».
La semaine dernière, un 

