Archives de l’auteur : Arnaud

Vaios Koutroulis lauréat du prix Alice Seghers

Vaios Koutroulis

La thèse de Vaios Koutroulis « Les relations entre le jus contra bellum et le jus in bello : étanchéité absolue ou vases communicants ? – L’indépendance en tant que caractéristique principale des relations entre le jus contra bellum et le jus in bello » a reçu le prix Alice Seghers pour l’année académique 2010-2011, qui récompense une étude d’ordre juridique tendant à promouvoir l’amélioration de l’individu dans la société. La remise du prix a eu lieu le 3 mai 2012 à la Faculté de droit de l’ULB.

Automne 2012: prochains midis du centre

Horloge midi du centre

Les prochains midis du Centre de droit international auront lieu les 15 et 21 novembre ainsi que les 6 et 13 décembre.

 

  • Le jeudi 15 novembre. Pierre-Yves Condé (U.L.B.) :  « Un cas presque exemplaire: l’affaire de l’Application de la convention pour la prévention et la répression du crime de génocide (BiH/Serbie) envisagée dans une perspective de sociologie historique du droit et de la justice internationale »
  • Le mercredi 21 novembre. Nabil Hajjami (U.L.B.): « La responsabilité de protéger » (exposé réalisé dans le cadre de la présentation de sa thèse de doctorat en co-tutelle entre l’Université d’Angers et l’U.L.B.).
  • Le jeudi 6 décembre. Marco Benatar (V.U.B.). « Le Manuel de Tallinn : vers un jus contra bellum electronicum ? » (présentation d’un ouvrage à paraître chez Cambridge Univ. Press en 2013).

Pour rappel les midis du Centre de droit international se déroulent à la salle de réunion du Centre de droit international (Bâtiment H, 5ème étage, local H5.159) de 12h15 à 14h00. Des sandwiches et rafraîchissements sont offerts sous réserve d’inscription avant 15h00 le jour ouvrable précédant l’événement.

Prix Henri Rolin – Appel à candidature

Henri Rolin smallLe prix Henri Rolin couronne une œuvre individuelle ou collective portant sur le droit international ou les relations internationales.

Prix Henri Rolin

Ce prix est financé par le Fonds Henri Rolin. Il a pour objectif d’encourager les recherches en droit international et en relations internationales.

Le prix couronne une œuvre individuelle ou collective portant sur le droit international ou les relations internationales.

Il peut être attribué aux titulaires d’un diplôme belge de docteur ou de licencié en droit ou en sciences politiques, n’ayant pas atteint l’âge de 35 ans au jour de la remise du texte, ou si le travail a déjà été publié, ou est une thèse soumise à un jury universitaire, au jour de la publication ou de la défense publique de la thèse.

Ne sont pas recevables les ouvrages déjà couronnés par un prix de même nature

Les travaux soumis au Jury sont rédigés en français, néerlandais ou anglais.

Les travaux doivent avoir été publiés ou terminés, s’il s’agit de manuscrits non publiés, entre le 1er juillet 2007 et le 30 juin 2012.

Le montant du prix est de 2.500 Euros.

Il peut être divisé.

Les travaux doivent être déposés pour le 31 décembre 2012 au plus tard, en trois exemplaires, au Secrétariat du Fonds.

Des renseignements complémentaires sur le Fonds Henri Rolin sur le texte complet du règlement ainsi que des dispositions d’application du prix sont accessibles sur le site du Centre de droit international.

UNIVERSITÉ LIBRE DE BRUXELLES

CENTRE DE DROIT INTERNATIONAL – CP 137

Avenue F.D.  Roosevelt 50, 

1050 – Bruxelles

Tél. 02/650.34.01

Courriel : cdi@ulb.ac.be

 

https://cdi.ulb.ac.be


 

 

Prijs Henri Rolin

Uittreksels van het Reglement en van de Uitvoeringsbepalingen.

Er wordt een Prijs Henri Rolin ingesteld.

Deze prijs bekroont een individueel of collectief werk betreffende het internationaal recht of de internationale betrekkingen.

De prijs kan alleen worden toegekend aan de houders van een diploma van licentiaat of doctor in de rechten of in de politieke wetenschappen, die minder dan 35 jaar oud zijn op de dag van afgifte van hun tekst, of wanneer het manuscript al uitgegeven is, op de dag van de publicatie of van de verdediging in het openbaar van de thesis.

De tekst moet worden opgesteld in het Nederlands, het Engels of het Frans.

De werken moeten uitgegeven of beëindigd zijn, wanneer het niet-uitgegeven manuscripten betreft, tussen 1 januari 2007 en 30 juni 2012.

De prijs is vastgesteld op 2.500 Euros.

Deze kan verdeeld worden.

Het werk moet ten laatste op 31 december 2012 in drie exemplaren worden neergelegd op het secretariaat van het Fonds.

Alle verdere inlichtingen en de volledige tekst van het reglement en van de uitvoeringsbepalingen kunnen worden verkregen op het secretariaat van het Fonds :

UNIVERSITÉ LIBRE DE BRUXELLES

CENTRE DE DROIT INTERNATIONAL – CP 137

Avenue F.D.  Roosevelt 50, 

1050 – Bruxelles

Tél. 02/650.34.01

Courriel : cdi@ulb.ac.be

https://cdi.ulb.ac.be

 

Ouverture de deux postes de recherche dans le domaine de l’histoire du droit international

Henri LafontaineLe Centre de droit international et l’Unité de Recherche Mondes Modernes et Contemporains de l’Université Libre de Bruxelles se sont associés dans un projet de recherche sur la contribution de la Belgique au droit international, dans le cadre du Pôle d’Attraction Interuniversitaire « Justice et populations, l’expérience belge en perspective internationale, 1795-2015. » Dans le cadre de ce projet, qui court de 2013 à 2017, deux bourses de doctorat sont offertes dans les domaines du droit international et de l’histoire, pour des recherches qui s’inscrivent dans la thématique générale pris en charge par l’ULB dans le partenariat du PAI.

Les mandats des boursiers débuteront le 1er janvier 2013, pour une durée de 4 ans.

Les candidats doivent remplir les conditions d’inscription en doctorat en droit ou en histoire à l’Université Libre de Bruxelles, être motivés pour un travail en équipe interdisciplinaire, ouverts sur l’international et faire preuve de capacités de recherche et de rédaction.

Les candidatures peuvent être envoyés avant le 15 octobre 2012, comprenant, un curriculum vitae ainsi qu’une lettre de motivation et un bref projet de thèse, en français ou en anglais, ciblé et réalisable en 4 ans, tout en s’inscrivant dans le cadre du descriptif du projet ci-joint. Les candidats dont les dossiers sont retenus seront convoqués pour un entretien le 22 novembre 2012. Les fichiers, en format pdf, seront adressés à cdi@ulb.ac.be dans un message comportant comme objet : « candidature doctorat PAI ».

Responsables :

Olivier Corten, Centre de Droit international, (ocorten@ulb.ac.be)

Pieter Lagrou, Unité de Recherche Mondes Modernes et Contemporains, (plagrou@ulb.ac.be)

Chérfia Saddouk, responsable administrative, (cdi@ulb.ac.be)

Descriptif du projet :

Justice and populations, the Belgian experience in international perspective, 1795-2015.

(Belspo IAP P7/22)

Centre de Droit International / Unité de Recherche Mondes Modernes et Contemporains

Université Libre de Bruxelles


The ULB team proposes to take the title of the PAI project to the letter: the Belgian experience in international perspective. Two interrelated, but distinct aspects will be examined.

Firstly, in the area of international law and justice, the Belgian experience is distinctive. The Belgian record in mediation, arbitration, or hosting of international organisations often seems second to that of Switzerland, Norway, Sweden or the Netherlands, other small nations who could longer enjoy the benefit of neutrality in contemporary history. Yet the limits of Belgium’s foreign policy tend to obscure the very strong involvement of Belgian scholars, activists and militants in the campaign for international law as an alternative language in international relations and as a universal route to peace, democracy and human rights. International law was, in the expression of Jay Winter, a « minor utopia » in an age of extreme ideologies and violence, or, as Martti Koskenniemi phrased it, a « gentle civilizer of nations ». The Institut de Droit International, founded in Ghent in 1873, and awarded with the Nobel Prize for Peace in 1904, nine years before Henri La Fontaine’s Nobel Prize, stands at the cradle of a longstanding commitment of Belgian intellectuals to international law as a universal language. The German invasion of 1914 severely shook their faith in international morality, but did not altogether shatter it. The campaign over German atrocities in « Poor Little Belgium »; the frustration over the German refusal to hear Belgian indictments at Leipzig; the trials held in absentia during the interwar years; the fierce argument over the legality of the Hague Convention and the occupation regime both in 1914-1918 and 1940-1944 in which the Belgian judiciary stood at the forefront of a peculiar form of resistance and, finally, the trial by Belgium of German war criminals in the late 1940’s all form part of a confrontation of the legal concepts deemed characteristic of the Belgian liberal State with those of its German neighbour. Belgian militants of international law continued their campaign by taking up the legal defence of activists and insurgents in the wars of independence waged in the Belgian, French and British Empires and in authoritarian regimes in Africa, Latin America and the Middle East. The end of the Cold War opened a new chapter, when the accumulated weight of this tradition culminated in the law on universal jurisdiction adopted in the early nineties, later followed by important precedents in third country jurisdiction, notably of individuals suspected of taking part in the Rwanda genocide and strong commitment to the creation of the International Criminal Court.

A long-term history of this Belgian record of engagement with international law and justice is not about compiling a roll of honour or an exercise in national chest thumping, but it is a project of intellectual history at the crossroads with the history of political ideas, international relations, militancy and the emergence of international law as an academic discipline. This intellectual history should also draw on elements of collective biography. Where can militancy for international justice be located on a social, political, confessional map of Belgian society? How does it tie in with traditional politics? What kind of transnational networks does it build up?

Secondly, the Belgian engagement with international justice is not simply a matter of laudable intentions, utopia’s and intellectual history. It also produced effects, created a record, built up jurisprudence. There are at least two angles under which these « archives » are of a crucial importance to contemporary debates. In the heated controversies on the legitimacy of the International Criminal Court between signatories and non-signatories of the 1998 Rome Treaty, jurisprudence is a central issue. Is the court a creatio ex nihilo, based on the flimsiest of jurisprudential traditions, producing only exceptions, or is it rooted in a longstanding and diversified accumulation of precedents? The legal precedents mobilised in public discourse, but to some extent also in judiciary reference, are indeed limited to the most famous cases – Nuremberg, Eichmann, Barbie, Pinochet. However, according to current estimates, only 2% of the existing jurisprudence in international justice is actually used and referenced, for instance through the various International Law Digests. Thousands more wait to be exhumed and made accessible to lawyers and historians alike. The ultimately random selection of published jurisprudence causes some court decisions to be cited and others to fall into oblivion. For instance the rather obscure Mehden trial before a Brussels court in 1949 was cited in the appeal case of Erdemovic before the International Criminal Tribunal for former Yugoslavia for the way it overruled the argument of superior order, but the Siegburg case in the same years, in which a Belgian court qualified the murder of a Jewish victim as a « crime against humanity » never made it to the columns of the law digests and Pasicrasies. A systematic disclosure of the judicial record of Belgium in the area of international law would considerably enrich the jurisprudential stock on which the ICC can build and thus strengthen its legitimacy. The second angle is properly historical. Not only lawyers, but also historians have built their corpus on a very narrow base of court records. For the history of the Nazi occupation, for instance, court records have been the single most important source of the historiography produced since 1945. Far too many historians have used court files as just a convenient set of documents, ignoring the context of their production, and thus often uncritically reproduced judicial narratives of inculpation or disculpation. The vast majority of trials have never been used at all. Part of the difficulty is access to the source material. For instance, the military justice has been abolished in Belgium in 2003, but its archives have yet to be transferred to the National Archives. The procedures for declassification are unclear and excruciatingly slow. The conservation of this considerable stock of very fragile paper files in inappropriate conditions puts their preservation at risk.

The National Archives of Belgium, partner to this PAI, has the legal mandate and the expertise to preserve and disclose these archives. Because of the strong international relevance of these files, digitilisation and, ultimately, web-based consultation seem the ideal solution. However, discharging tens of thousands of documents on the Internet without an adequate tool to access the material would hardly improve the situation. What is needed therefore is a reflexion on the uses of judiciary files, their potential and their limitations for very diverse users: the documentation branch of the ICC, defence lawyers and legal scholars, historians – that is, those working on legal history, but also those working on state sponsored crime, its perpetrators, victims and all other aspects of history historians and social scientists in general so massively use judicial files for. Differentiated access to the charges, sentences, court proceedings, defense memos, witness accounts, and documents collected by the investigating judges will allow optimal versatility. Such a reflexion – and such a tool – should be designed in close cooperation with the ICC, the ICTY and the ICTR and other actors in the judiciary and archival field who face the same challenges. Ongoing work in our teams on the jurisprudence and archives of the Arusha tribunal can in this context provide precious expertise. The accumulated archives of the CDI could thus also integrate a wider and stable documentary context.

Midi du centre consacré à la théorie du droit international

Vincent Chapaux smallLe 23 août prochain, Vincent Chapaux (ULB) ouvrira la saison 2013-2014 des midis du centre de droit international en présentant les premiers résultats de la recherche qu’il poursuivra durant l’année académique à venir à l’Université de New York (NYU). Sa présentation sera intitulée «Mesurer l’écart entre les approches étasuniennes et francophones du droit international ».

Pour rappel les midis du Centre de droit international se déroulent à 12h15 à la bibliothèque du Centre de droit international. Bâtiment H, 5ème étage, local H5.159. Des sandwiches et rafraîchissements sont offerts sous réserve d’inscription avant 15h00 le jour ouvrable précédant l’événement.

Remise du prix Henri Rolin

Rolin 1Le conseil d’administration du Fonds Henri Rolin, entérinant la proposition du jury (composé de P. Eeckhout, R. Ergec, M. Fallon, M. Melchior et K. Wellens) du prix Henri Rolin, a décidé d’attribuer le prix 2007 à  :

M. Cedric RYNGAERT pour son étude «Jurisdiction in International Law ».

Le prix sera remis au lauréat au cours d’une séance publique à l’occasion de laquelle il fera un exposé oral sur l’objet et les conclusions du travail couronné :

Cet événement aura lieu le jeudi 28 juin, à 17 heures 30 à la Bibliothèque du CIERL (Centre Interdisciplinaires d’Etudes des Religions et la Laïcité – 17, avenue Franklin Roosevelt – 1050 Bruxelles – au rez-de-chaussée)

L’entrée est libre mais l’inscription obligatoire

Midi du centre consacré au droit international des investissements

Horloge midi du centreLe dernier Midi du CDI de l’année académique aura lieu le jeudi 14 juin et sera présenté par M. Nicolas Angelet (ULB). Il aura pour thème  » Le ‘Global Administrative Law’ (GAL) : théorie générale et pertinence au regard du droit international des investissements ». L’exposé sera commenté par Ludovic Hennebel (ULB).

Pour rappel les midis du Centre de droit international se déroulent à 12h15 à la bibliothèque du Centre de droit international. Bâtiment H, 5ème étage, local H5.159. Des sandwiches et rafraîchissements sont offerts sous réserve d’inscription avant 15h00 un jour ouvrable précédent l’événement.

L’équipe de l’ULB en demi-finale du concours Rousseau

Rousseau 2012Le 3 mai dernier, l’équipe de l’Université Libre de Bruxelles a accédé à la demi-finale du très prestigieux concours Charles Rousseau. Ce concours de procès simulé a été créé en 1985 afin de développer la connaissance et la maîtrise du droit international. Les équipes des universités du monde entier s’y affrontent en français autour d’un cas fictif pour lequel elles doivent rédiger des conclusions écrites et ensuite plaider devant un jury de spécialistes. L’édition 2012, qui s’est tenue à Clermont-Ferrand du 28 avril au 6 mai 2012, a réuni 25 équipes de 10 pays et près de 96 plaideurs autour du différend opposant les organisations sportives FISAV et COAC à la République d’Arénaline devant un tribunal du Centre international pour le règlements des différend relatif à l’investissement (CIRDI).

Choisie à l’issue d’un âpre processus de sélection interne, l’équipe de l’ULB était composée de Dominique Crêvecoeur, Delphine Keppens, Chloé Deffet et Aurélie Roosen (photo), tous étudiants en Master complémentaire en droit international. Tout au long de la préparation pour le concours, les étudiants ont été encadrés par Agatha Verdebout, assistante au Centre de droit international de l’ULB. Après un beau parcours dans les joutes éliminatoire, l’équipe de notre université s’est inclinée en demi-finale contre l’Université de Québec à Montréal (UQAM) qui remportera, par la suite, la finale. Faisant partie des quatre meilleures équipes du concours, l’ULB verra également l’un de ses plaideurs, Dominique Crêvecoeur, récompensé du 4e prix individuel de plaidoirie.

Voyage à La Haye des étudiants du Master complémentaire

La Haye 2012« Le vendredi 27 avril, les étudiants du master complémentaire en droit international public se sont rendus à La Haye pour visiter la Cour pénale internationale où ils ont eu le plaisir de rencontrer Simon de Smet et d’assister aux audiences de la Cour internationale de justice dans l’affaire du différend territorial et maritime opposant le Nicaragua et la Colombie. Les étudiants ont eu l’occasion d’y rencontrer les conseils Alain Pellet (Nicaragua) et Marcelo Kohen (Colombie). Cette visite a été organisée dans le cadre du cours d’Actualités du droit international public dispensé par Anne Lagerwall »

L’équipe de l’ULB remporte le prestigieux Concours Jean-Pictet en droit international humanitaire

Pictet 2012Le 20 avril dernier, à Winterton en Afrique du Sud, l’équipe de l’Université Libre de Bruxelles (ULB) a remporté la finale du prestigieux Concours Jean-Pictet portant sur la matière du droit international humanitaire. Ce Concours, dont la première édition date de 1989, vise à « faire sortir le droit des livres » en confrontant les étudiants à diverses situations relatives aux aspects juridiques les plus variés d’un conflit armé. L’édition 2012 a rassemblé 47 équipes venues d’universités du monde entier réunies dans deux sessions de langue anglaise et une de langue française. Au terme d’une semaine d’épreuves, la finale réunissant les meilleures équipes des trois sessions a vu la victoire de l’équipe de l’ULB composée de Céline Cocq, Jennifer Sevrin et Alexandre Faudon (photo), étudiants en Master complémentaire en droit international.

Ces trois étudiants ont par cette victoire, fait la démonstration d’une exceptionnelle connaissance du droit international humanitaire mais aussi fait preuve de l’empathie, des qualités rhétoriques et de la capacité d’adaptation nécessaires pour remporter le concours Jean-Pictet. Leur succès est le fruit d’un long travail de préparation débuté lors des présélections internes à l’ULB tenues en octobre 2011. Depuis cette date, les étudiants, encadrés par Martyna Falkowska, doctorante au Centre du droit international de l’ULB, ont non seulement approfondi leur connaissance théorique du droit international humanitaire et du droit international public mais ont également participé à plusieurs épreuves pratiques où, tout en mettant à l’épreuve leur savoir, ils étaient amenés à jouer le rôle de divers acteurs des conflits armés