Les contributions à cette rubrique sont consacrées à des morceaux de musique qui suscitent une réflexion en droit international. Bien entendu, on n’y trouvera pas de raisonnements juridiques explicites. Mais, que ce soit au regard des paroles, du titre du morceau, mais encore de la manière dont ce dernier a été créé ou interprété dans la pratique, certains enseignements peuvent en être déduits pour l’internationaliste. C’est en tout cas le pari que nous avons osé en ouvrant cette rubrique…
Pour chaque commentaire, il est conseillé au lecteur/auditeur de commencer par déclencher le morceau de musique pertinent, qui est reproduit via un lien sur un site internet. Il est lui est ensuite loisible de découvrir le texte avec le fond musical approprié, et éventuellement de poursuivre ensuite son exploration en découvrant d’autres morceaux cités dans le commentaire (lesquels peuvent être aisément écoutés par l’intermédiaire de divers sites ou serveurs).
Toute personne intéressée peut envoyer une proposition de commentaire (qui doit faire entre 3 et 5 pages au maximum, paroles de chanson comprises) à Olivier Corten (olivier.corten@ulb.be) et François Dubuisson (francois.dubuisson@ulb.be).
-
- Présence militaire étrangère et droit international : « Armée française d’Alpha Blondy » – Une analyse de Sâ Benjamin Traoré
-
- Russians (Sting, 1985) : I hope that international lawyers love their children too…. – Une analyse de Jacques Bellezit
-
- Entre droit à l’autodétermination et simple autonomie : « Le Blues de la porte d’Orléans » (Renaud, 1975) – Une analyse de Vincent chapaux
-
- Néo-colonialisme et droit international : « J’accuse » (de Didier Awadi) – Une analyse de Sâ Benjamin Traoré
-
- Declare Independence (Björk) : le droit à l’autodétermination en question – Une analyse d’Olivier Corten
-
- Ecouter de la musique comme un juriste, ou la porosité du droit et de la culture populaire : une analyse croisée des morceaux Srebrenica (Never Again) de Genocide et Mladic de Godspeed you ! Black Emperor
-
- De l’efficacité du respect et de la violation d’un boycott culturel : Paul Simon, Graceland et l’apartheid – Une analyse de Florian Couveinhes-Matsumoto
-
- Les résolutions des Nations Unies concernant la guerre du Liban en musique ? « War Crimes (The Crime Remains the Same) », The Special AKA – Une analyse de François Dubuisson
-
- Clash à l’Institut de droit international : Washington Bullets et le principe de non-intervention – Une analyse d’Olivier corten